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Nerf-Vasc NCT 05164822 : étude observationnelle, prospective, multicentrique portant sur les Neuropathies des Vascularites Nécrosantes Primitives

Synopsis

Synopsis synthétique

Mis à jour le 12 juin 2022

Vascularites cutanés limitées persistantes ou récidivantes

Courrier et synopsis

Mis à jour le 15 juin 2022

Etude MAI TAFRO : Maladie Auto-Immune et syndrome Thrombopénie Anasarque, myéloFibrose, atteinte Rénale et Organomégalie

Synopsis de l'étude

Mis à jour le 5 juin 2022

Etude PANAGHE : Etude sur les pratiques de diagnostic et de prise en charge de l'hépatite alcoolique sévère

Synopsis

Questionnaire en ligne

Mis à jour le 4 juin 2022

Un homme, âgé de 77 ans, bijoutier-horloger retraité, ancien tabagique, consommateur régulier d’alcool, était hospitalisé pour l’exploration d’une altération progressive de l’état général. Ses antécédents étaient marqués par une maladie rythmique de l’oreillette ayant nécessité la pose d’un pace maker en 1995 avec une fibrillation auriculaire, une hypertension artérielle et une hypothyroïdie. Son traitement comprenait L-thyroxine (125 µg/jour), amiodarone (2 comprimés par jour 5 jours sur 7), candésartan (8 mg/ jour) et fluindione (0,25 cp/ jour).

A l’examen clinique, le clinicien était frappé par l’aspect du visage du patient. Les paramètres hémodynamiques étaient normaux. Il n’y avait pas d’anomalie clinique notable par ailleurs en dehors de son arythmie cardiaque. La biologie montrait un syndrome inflammatoire modéré, le ionogramme et la glycémie étaient normaux, la clairance de la créatinine était à 52 ml/min. Il existait une cytolyse à 2 fois la valeur normale, sans cholestase, une ferritinémie à 958 µg/L (28-365), avec un coefficient de saturation de la sidérophiline à 20%. Les sérologies des hépatites virales et du virus de l’immunodéficience humaine étaient négatives.

 

 

Vous devez répondre à toutes les questions.

Un patient de 33 ans, est adressé des urgences pour un purpura ecchymotique des membres inférieurs remontant jusqu’aux cuisses, s’aggravant à l’orthostatisme, évoluant depuis 10 jours environ. Depuis 48h, le patient décrit l’apparition d’un caractère bulleux et nécrotique des lésions cutanées. Il se plaint également d’arthralgies des chevilles. Il n’a pas de fièvre, de troubles de la conscience, ni d’autres douleurs, mais il a perdu 3kg en 10 jours. L’interrogatoire vous apprend également qu’il a pris de la roxithromycine 2 semaines auparavant pour une angine sans fièvre. Il n’a aucun antécédent médical ni chirurgical. Le patient est allergique à la pénicilline. Il travaille comme livreur de meubles, et n’a pas voyagé récemment. Il ne prend aucun médicament habituellement. La biologie révèle une hémoglobine à 14,8 g/dL, une hyperleucocytose à 11,97 G/L, des plaquettes à 433 G/L. Le bilan de coagulation est normal, de même que le ionogramme et la créatininémie. Il existe un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 30 mg/L. Les prélèvements urinaires ne révèlent pas de protéinurie ni d’hématurie.

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Mis à jour le 19 mai 2022

 Exacerbation aiguë de fibrose pulmonaire contemporaine à une infection à COVID-19 au cours de la Sclérodermie systémique (ScS) : Étude ScleroVID

 

Lettre de présentation

Synopsis

Fiche de recueil

Fiche d'information du patient

Mis à jour le 19 mai 2022

10/03 | Supplémentation en vitamine D et/ou calcium chez les patients atteints de sarcoïdose avec indication de traitement par corticothérapie au long cours

O. Derain et N. Magy-Bertrand vous proposons donc un questionnaire pour recueillir les habitudes de supplémentation des médecins internistes. Celui-ci permettra peut-être de proposer une prise en charge en tenant compte du risque ostéoporotique chez ces patients. 

 

Cliquez ici pour répondre au questionnaire

Une femme, âgée de 53 ans, était adressée en consultation par son ophtalmologue pour le bilan étiologique d’une neuropathie optique ischémique antérieure aiguë (NOIAA) non-artéritique bilatérale, survenue il y a quelques mois, à l’origine d’une baisse d’acuité visuelle persistante. Elle avait pour antécédent la pose d’un stent de l’artère iliaque gauche 2 ans plus tôt et un tabagisme actif à 30 paquets-années. La patiente n’avait pas d’autres facteurs de risque cardiovasculaires. La patiente était G3P2 avec un antécédent de fausse couche spontanée précoce. Elle prenait de l’aspirine à 75 mg/jour au long cours. Elle avait été traitée lors de sa baisse d’acuité visuelle par bolus de prednisolone pendant 3 jours sans efficacité sur son acuité visuelle. Les examens biologiques réalisés au moment de l’épisode visuel ne retrouvaient pas de syndrome inflammatoire biologique. Un angio-scanner cérébral était normal de même que l’échographie-Doppler des troncs supra aortiques et l’échographie cardiaque. L’imagerie par résonance magnétique cérébrale retrouvait des petits hypersignaux de la substance blanche sous corticale. La biopsie de l’artère temporale était normale. Un diagnostic de neuropathie optique œdémateuse bilatérale avec atrophie du nerf optique avait alors été posé.

A l’examen, vous notiez un érythème permanent des cuisses que la patiente avait elle-même observé depuis plusieurs mois (Fig.1). Le reste de l’examen clinique était normal.

Le bilan biologique montrait un hémogramme normal, une protéine C réactive inférieure à 1 mg/l, un fibrinogène à 3,57 g/l et une fonction rénale normale. Les anticorps antinucléaires étaient positifs à 1/400, de fluorescence mouchetée, sans anti-ADN natifs et sans anti-antigènes nucléaires solubles. Le complément était normal de même que l’analyse du sédiment urinaire. Il n’y avait pas de mutation du gène du facteur II ni de facteur V Leiden et les taux des protéines C, S et d’antithrombine étaient normaux. La recherche d’anticorps anti-phospholipides montrait une triple positivité avec des anticorps anti-cardiolipine (IgG), anti-bêta2GP1 (IgG) et présence d’un anticoagulant circulant lupique.

 

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